>>>> ven- 17 avril, les autoroutes sont désertes et on a bien compris le message à caractère informatif
>>>> ven- 17 avril, la nature mange les maisons des voisins et moi je vais déjeuner avec ma mère à 3 mètres de distance. Je lui donne aussi des masques en tissu que j'ai fabriqués.
>>>> Et je repasserai la semaine prochaine.
>>>> ven- 17 avril : je reprends la route pour passer voir Marie, la mère de Paul. L'autoroute est toujours déserte.
>>>> ven- 17 avril : nous sommes d'accord, la nature est en train de tout dévorer sauf sur la grande avenue où une cohorte de jardiniers de la ville de Meudon a du déployer ses talents. avant le confinement. Au rapport les arbres.
>>>> ven- 24 avril : un nouveau voyage, il y a toujours ces messages.
>>>> ven- 24 avril : nous sortons masquées, le chat un peu foldingue nous accompagne.
>>>> ven- 24 avril : le confinement c'est ne plus voir ses enfants ni ses petits-enfants, ne plus aller en ville faire ses courses, ne plus aller peindre à l'atelier, ne plus aller au concert à Paris, ne plus... Louise ne se plaint absolument pas, Louise est plutôt habile et à l'aise avec le numérique depuis le début, elle a pris le virage quand il fallait ;
nous faisons des "apéros skype" entre la banlieue parisienne, Lyon, Londres et le Mexique, mais, rien ne remplace d'être ensemble, remarque ultra bateau, mais que dire d'autre.
>>>> ven- 24 avril : juste avant mon départ,
notre rituel d'autoportraits.
>>>> ven- 24 avril : Les Mureaux sont déserts.